Histoire de la commune

glise Notre-Dame de l’assomption bâtie à l’emplacement de l’église primitive du XIème, ancienne dépendance de l’Abbaye de St Michel-en-l’Herm. La paroisse dépend du diocèse d’Angers depuis 1802 seulement. L’édifice a été entièrement reconstruit pour sa partie ancienne, sous la Renaissance par Charles Du Plessis et Louise de Montfaucon-Saint-Mesmin. Leurs blasons se trouvent en de nombreux endroits de l’édifice. L’église a été agrandie et surélevée vers l’Est, entre 1858 et 1860.

Points remarquables dans l’église : les voûtes sculptée s de la nef sud, de la nef centrale et les vitraux contemporains dont les thèmes sont pour partie, les Guerres de Vendée, et pour partie, la vie du Père de Montfort qui est venu à La Séguinière en 1713 et 1715.

L’horloge possède une sonnerie sur l’air de l’inviolata.

Deux sites Internet parlent des célèbres vitraux de l’église :

• Les guerres de Vendée
• Vitraux et guerres de Vendée

Le choeur est du XII-XIIIème. La chapelle est dédiée à la Madeleine et faisait partie des dépendances du prieuré de St Laurent des Gâts de La Romagne. Les dimensions actuelles datent de la grande mission de 1713 par le Père Grignion de Montfort. Elle abrite Notre-Dame de Toute Patience, statue de la vierge en poirier qui aurait été sculptée par le Père de Montfort.

Monument à trois arches en meulière de granit (XVème), arcs brisés avec brise-lames sur la face en amont. C’était le passage obligé jusqu’en 1850, date de réalisation du Pont neuf.

Récemment aménagé, le site du Moulin de la Cour offre une promenade agréable en bordure de la rivière.

Une passerelle piétonne permet l’accès à ce site depuis la RD 753 (zone de la Ménardière).

Trois randonnées pédestres balisées :

• Sur les Pas du Père Montfort
• De l’étang ruiné au chemin de Tiffauges
• Au fil de l’eau